Cette étude concerne des patients adultes qui sont atteints d’un lymphome traité par allogreffe ou autogreffe de cellules souches. La greffe de cellules souches nécessite un traitement par chimiothérapie à fortes doses, afin de détruire l’ensemble des cellules souches et permettre aux cellules souches greffées de les remplacer. L’un des effets indésirables possibles d’une chimiothérapie à fortes doses est la survenue d’une mucite. Il s’agit d’une inflammation des muqueuses de la bouche ou du système digestif, qui se manifeste par une rougeur, une douleur et des aphtes plus ou moins nombreux.
L’étude vise à évaluer l’efficacité de la photobiomodulation pour prévenir ou traiter la mucite induite par la chimiothérapie.
La photobiomodulation par LED est une technique qui consiste à stimuler des cellules ou des tissus grâce à une lumière de longueurs d’onde spécifiques. En oncologie, elle est utilisée pour ses propriétés antalgiques, anti-inflammatoires et cicatrisantes.
La lumière est appliquée sur la peau grâce à un appareil spécifique.
Dans cette étude, tous les patients reçoivent le traitement par photobiomodulation.
Il est prévu un suivi pouvant durer jusqu’à environ 3 mois.
L’étude est réalisée en ouvert ; les participants et les médecins savent quel traitement est administré.
Seules certaines personnes sont susceptibles de suivre cet essai clinique. L’équipe en charge de l’essai clinique est à même de voir si vous pouvez suivre l’essai.
En plus de ces critères, votre médecin doit prendre en compte d’autres critères que lui seul peut valider.
En plus de ces critères, votre médecin doit prendre en compte d’autres critères que lui seul peut valider.